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  • L’actionnariat salarié rémunère le risque du cadre expérimenté qui rejoint une start-up

    Pour grandir, les start-up recrutent des cadres expérimentés dans les grands groupes . Afin de les inciter à prendre des risques, l’actionnariat salarié rejoint leur projet de croissance.

    nicolas_dhueppe.jpgBâtir une équipe solide est un des principaux défis pour passer de la start-up à la scale-up, probablement le plus complexe. Organiser, consolider, internationaliser sont des compétences qui deviennent indispensables pour partir à la conquête du monde et se donner toutes les chances de réussir sa croissance. Mais si l’innovation et l’entreprenariat n’ont pas d’âge, la qualité du management est bien souvent corrélée à l’expérience. Les formations posent des bases solides mais rien ne remplace le terrain avec ses relations humaines, ses chocs culturels, ses rapports de forces, ses idéaux… Il faut donc aller chercher des cadres expérimentés, souvent en poste et les détourner d’une voie tracée, faite de confort et de multiples avantages dans de grandes entreprises, puissantes et solides.

    Pour les attirer dans une aventure palpitante mais bien plus risquée sans pouvoir s’aligner sur le salaire, le seul levier possible est de rémunérer le risque pris par un partage de la valeur future créée : offrir des actions de la société, et donc un potentiel de gain qui va au delà d’un simple bonus annuel. Les actions gratuites ont retrouvé des couleurs depuis la loi Macron , qui a ramené le niveau de taxation dans la moyenne haute européenne. Cette loi met un terme à une période de pression fiscale qui avait tué tout l’intérêt de ces mécanismes de partage de la valeur, conséquence directe d’abus à répétition par des cadres dirigeants de grands groupes du CAC 40 pour compléter leur rémunération sans lien évident avec quelconque prise de risque personnelle ou surperformance objective.

    Lire la suite sur http://business.lesechos.fr/directions-numeriques/digital/transformation-digitale/021424645163-l-actionnariat-salarie-remunere-le-risque-du-cadre-experimente-qui-rejoint-une-start-up-204186.php?RR0K9dmYYUjzh5PP.99#inscription

     

     

    Extrait du Livre : "2017 : 100 idées pour une France numérique"

    Auteur : Institut G9+, coordonné par Luc Bretones
    Equipe de rédaction : Fabien Astic, Luc Bretones, Didier Carré, Bruno Dumont, Rodolphe Falzerana, Valentine Ferreol, Jean-François Perret, Rémi Prunier, Olivier Trannoy, Jean-François Vermont
  • 2017 : 100 idées pour une France numérique

    « 2017 : 100 idées pour une France numérique » est une contribution de leaders d’opinions de la société civile interrogés par l’Institut G9+, un des premiers think tank numérique, associatif et bénévole français. A l’occasion de ses 20 ans et à l’approche des élections présidentielles, l’Institut G9+ a souhaité s’impliquer pour une réelle prise en compte du numérique au cœur de la stratégie de l’Etat français et ce dans toutes ses dimensions : économiques, sociales, politiques, environnementales. Malgré des progrès notables, la France, et l’Europe, contrairement à d’autres pays et continents, ne profitent pas des potentialités du numérique pour répondre à leurs défis majeurs et le moment est venu de véritablement « changer de braquet » pour entrer positivement dans une ère ultra innovante, où les opportunités seront à la portée des pionniers. Une ère où les monopoles et positions acquises vont connaître une remise en cause fondamentale, permanente et accélérée.

    La tonalité est apolitique, sur un sujet a priori peu partisan, et concrète : les propositions sont simples, applicables et utiles. Elles ont été travaillées pour être intégrées à des projets de loi ou des réformes aux niveaux national et européen. Il est néanmoins tout à fait possible que certaines idées soient partiellement contradictoires ou éclairent une problématique de façon très différente. Cela exprime une pluralité nécessaire à l’expression de chacun. Pour autant, la qualité et l’implication dans la société des leaders d’opinion choisis collégialement par le think tank est un gage de qualité opérationnelle de ces idées. L’Institut G9+ se fait le porte-voix d’idées qui restent la propriété de leurs auteurs.

     

    Titre : "2017 : 100 idées pour une France numérique"
    Sous la direction de Luc Bretones
    Équipe de rédaction : Luc Bretones, Didier Carré, Bruno Dumont, Rodolphe Falzerana, Jean-François Perret, Rémi Prunier, Nadia Robinet, Olivier Trannoy, Jean-François Vermont

  • Numérisation : comment définir un indice à intégrer au rapport annuel ?

    Avant de mettre en place des plans d’actions pour mener leur digitalisation, toutes les entreprises devraient pouvoir s’auto-évaluer sur le sujet et se comparer à leurs concurrents.

    Le meilleur moyen pour que les entreprises et les organismes publics se digitalisent est qu’ils mesurent leur niveau de digitalisation. Pourquoi pas le synthétiser par un indice. Il faut qu’elles puissent se comparer avec d’autres, mettre en place des plans d’action pour s’améliorer et mettre en avant leurs forces. Les Echos et Gilles Babinet ont créé le palmarès eCAC40, gagné cette année par Axa , sur la base de cinq critères (culture digitale, visibilité en ligne, maîtrise technologique, écosystème et sécurité). L’objectif est d’aller au-delà en intégrant les autres entreprises dont les PME et les organismes publics et d’ajouter des critères opérationnels touchant les principales directions : ventes, marketing, finances, RH, service client ... (ex : pourcentage de factures électroniques ou de ventes réalisées en ligne). Cet indice pourrait être communiqué dans les rapports annuels ou RSE des entreprises et sur leur site web institutionnel.

    237612_dimitricarbonnellep-jd691.jpgCette idée pourrait s’appuyer sur la démarche existante du e-CAC40 des Echos afin qu’elle soit promue par les fédérations professionnelles (Syntec...), organismes patronaux (Medef, CGPME...), syndicaux et salariaux ainsi que par les organismes publics. En concertation avec ceux-ci, une vingtaine de critères simples à mesurer pourraient être définis pour cet indice. Il pourrait être utilisé comme critère dans les appels d’offres pour les marchés publics. Des trophées pourraient récompenser les meilleures entreprises.

    Lire la suite sur http://business.lesechos.fr/directions-numeriques/digital/transformation-digitale/021417646830-creer-un-indice-mesurant-la-numerisation-des-entreprises-et-l-integrer-dans-le-rapport-annuel-203911.php?VbM4z5FzMZE04w6u.99#xtor=CS1-35

     

     

    Extrait du Livre : "2017 : 100 idées pour une France numérique"

    Auteur : Institut G9+, coordonné par Luc Bretones
    Equipe de rédaction : Fabien Astic, Luc Bretones, Didier Carré, Bruno Dumont, Rodolphe Falzerana, Valentine Ferreol, Jean-François Perret, Rémi Prunier, Olivier Trannoy, Jean-François Vermont