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  • Développer les partenariats entre Grands Groupes et Startups digitales

    Cette idée proposée par Dimitri Carbonnelle a pour objectif de faciliter la collaboration entre des grands groupes et startups afin que ces dernières puissent proposer leurs solutions facilement aux grands groupes.
    Comme la plupart des startups ont intégré pour des raisons de vitesse, d’agilité et de coûts des solutions digitales, cela permettrait à celles-ci de se développer tout en développant leur utilisation dans les grands groupes.

    Comment et par qui faire adopter l'idée 237612_dimitricarbonnellep-jd691.jpg

    • Favoriser l’excubation des employés, l’entrepreneuriat, intrapreneuriat des employés Grâce à des aides ou congés dédiés à la création d’entreprise pour les employésqui faciliteraient la digitalisation de leur entreprise
    • Faciliter l’intégration de startups ou de partage d’employés pour des startups.Un employé d’un grand groupe pourrait être partagé avec une startup sur des projets communs. Cela permettrait aux startups d’avoir accès à des compétences difficiles à obtenir tout en permettant aux groupes d’enrichir l’expérience de leurs employés en réduisant leurs coûts.
    • Communiquer sur ses besoins digitaux et problématiques sur son site institutionnel : les groupes pourraient intégrer une page « Startups » ou « Digital Needs » à l’image de leurs pages « Jobs »,
    • Elles afficheraient les actions en faveur des entrepreneurs, startups et PME : Hackatons, incubateurs...
    • Les problématiques qui les intéressent et sur lesquels les entreprises digitales pourraient les solliciter plus précisément
    • Les outils digitaux qui les intéressent d’avoir (ex : RH, logistique...)
    • Chaque entreprise pourrait créer des « Fast Track » utilisant le digital pour faciliter le référencement des startups dans leur entreprise dans leur processus d’achat.

    Bénéfice de l'idée – L’intérêt est la fertilisation croisée entre les grands groupes et les PME, startups du digital en se fondant sur les besoins des grands groupes.

    Coûts et inconvénients de l'idée – Il faut mobiliser les entreprises qui peuvent être longues à évoluer. Néanmoins des entreprises du CAC40 jouent déjà le jeu comme Axa, L’Oréal, BNP Paribas.

    Mesure de compensation ou amortissement des impacts négatifs de l'idée – L’intérêt de cette initiative compense les problèmes de sa mise en place. La mobilisation du Medef et CGPME peut favoriser cela.

     

    Extrait du Livre : "2017 : 100 idées pour une France numérique"

    Auteur : Institut G9+, coordonné par Luc Bretones
    Equipe de rédaction : Fabien Astic, Luc Bretones, Didier Carré, Bruno Dumont, Rodolphe Falzerana, Valentine Ferreol, Jean-François Perret, Rémi Prunier, Olivier Trannoy, Jean-François Vermont

     

     

  • Pour un Crédit Impôt Recherche Digital

    Françoise Gri voudrait que le dispositif fiscal du Crédit Impôt Recherche couvre plus largement les dépenses de transformation digitale.

    Tous les baromètres récents publiés sur la transformation digitale des entreprises françaises le disent : la prise de conscience des enjeux progresse, mais tous pointent aussi les mêmes freins : l’implication insuffisante des dirigeants et le manque de ressources allouées à cette transformation.

    Car transformer coûte ! Qu’il s’agisse de la refonte du marketing, de la mise en place d’un vrai commerce digital ou du développement de nouveaux services et produits, les projets qu’entraîne cette transformation nécessitent des investissements et des dépenses significatives que ce soit pour l’embauche de nouvelles compétences, la mise en place d’équipes dédiées à l’innovation, l’évolution des systèmes d’information, le déploiement de nouvelles infrastructures. Ils entraînent aussi le constat de l’obsolescence d’assets existants. Or si la loi Macron permet l’amortissement accéléré de certains investissements , les dépenses nécessaires pour la transformation des entreprises ne sont le plus souvent qu’en partie amortissables, et elles ne sont également qu’en partie éligibles au CIR. Sans compter qu’innover dans ces domaines suppose d’essayer, de tester et d’abandonner, ce qui est incompatible avec la capitalisation des dépenses correspondantes.

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    Un crédit d’impôt pour entraîner vers la transformation

    Dès lors, le risque est grand que les PME françaises, sous capitalisées structurellement, et fragiles financièrement en sortie de crise, minimisent la vitesse et l’ampleur de leurs décisions au risque que celles ci soient non pertinentes dans un monde qui bouge très vite.


    Lire la suite sur http://business.lesechos.fr/directions-numeriques/digital/transformation-digitale/021467599191-pour-un-credit-impot-recherche-digital-204667.php?0YWWXt1TeQ6P4VX8.99

     

    Extrait du Livre : "2017 : 100 idées pour une France numérique"

    Auteur : Institut G9+, coordonné par Luc Bretones
    Equipe de rédaction : Fabien Astic, Luc Bretones, Didier Carré, Bruno Dumont, Rodolphe Falzerana, Valentine Ferreol, Jean-François Perret, Rémi Prunier, Olivier Trannoy, Jean-François Vermont

     

  • Le management scientifique du numérique, l’organisation du travail du XXIème siècle

    Les meilleures pratiques managériales permettront à toutes les entreprises de profiter de la révolution numérique sans recourir, aux premiers abords, à la technologie. Encore faut-il les identifier. Le G9+ propose de confier cette mission à une structure sous la tutelle de l’Etat.

    C_Legrenzi.jpgA l’instar de la révolution industrielle, force est de constater que ce n’est pas la technologie qui améliore la performance de nos entreprises voire qui crée des avantages compétitifs, mais bien la remise en cause des modèles d’organisation et de fonctionnement existants. Les experts du management Jean-Louis Peaucelle ou, plus récemment, Clayton Christensen (professeur à Harvard) l’ont bien montré. Ce leurre de la performance par la technologie, véhiculé par le secteur informatique, ne profite qu’à lui-même : il s’agit du premier secteur économique mondial et trois des cinq hommes les plus riches de la planète dirigent ou ont dirigé des entreprises numériques. En revanche, nos administrations et nos entreprises sont loin d’avoir réellement profité de l’informatisation. C’est le fameux « Paradoxe de Solow » (Prix Nobel d’Economie 1987). Il n’y a qu’à citer les pertes de productivité liées à l’arrivée de la bureautique, de la messagerie électronique ou les dispendieux projets ERP ou CRM pour s’en convaincre. Pourtant, comme l’a démontré l’économiste Angus Maddison, la révolution industrielle a permis de multiplier par un facteur 10 la richesse par habitant. La révolution numérique ne sera donc réussie que si nous français réussissons à relever ce même défi.

    L’Organisation Scientifique du Travail et toutes ses déclinaisons (du « time and motion » aux approches « Lean 6-Sigma ») a largement contribué au succès de nos industries. Ainsi, nous proposons de créer un mouvement parfaitement indépendant de l’industrie informatique (« le producteur ») en charge d’identifier et promouvoir les meilleures pratiques managériales auprès de nos entreprises (« les utilisateurs »).

    5 étapes pour construire le management français du numérique

    1. Suivre l’évolution du numérique au sein de la société française, secteur par secteur, sur la base d’indicateurs macro et micro économiques spécifiques au numérique de type DEI (Digital Evolution Index), NRI (Network Readiness Index) ou du GITR (Global Information Technology Report).

    2. Mesurer la valeur ajoutée créée à court, moyen et long termes sur différents plans : sociétal, économique, humain, etc.

    3. Identifier et promouvoir les meilleures pratiques internationales en matière de méthodes d’innovation, de stratégie et de management numériques : gouvernance, analyse de la valeur, gestion de projet, reengineering de processus numériques, maîtrise des coûts liés au système d’information ou au numérique, gestion du changement, etc.

    4. Suivre les derniers travaux académiques sur le sujet

    5. Organiser des cycles de conférence à destination des décideurs publics et privés et intégrer les nouveaux concepts dans les programmes de formation des universités et des grandes écoles françaises.

    Lire la suite sur http://business.lesechos.fr/directions-numeriques/digital/transformation-digitale/021453552494-le-management-scientifique-du-numerique-l-organisation-du-travail-du-xxieme-siecle-204417.php?l2fgQB1FpYxvRkG2.99

     

     

    Extrait du Livre : "2017 : 100 idées pour une France numérique"

    Auteur : Institut G9+, coordonné par Luc Bretones
    Equipe de rédaction : Fabien Astic, Luc Bretones, Didier Carré, Bruno Dumont, Rodolphe Falzerana, Valentine Ferreol, Jean-François Perret, Rémi Prunier, Olivier Trannoy, Jean-François Vermont